Les chiffres de 2011 ont indiqué que l’exportation de vin a atteint les 10 milliards d’Euro. Ce record historique est une preuve que le marché du vin est très dynamique. Depuis 2011, éblouis par ces chiffres, de plus en plus d’investisseurs s’intéressent au secteur. C’est un investissement original et rentable, mais en même temps, il est fortement lié à la passion du vin, qui est courant chez les Français. Quels sont les avantages d’un placement dans le vin et quelles sont les solutions d’investissement ? Cet article fait le point sur ces questions.

Plus qu’un produit de consommation

Le marché du vin est unique dans sa catégorie. Il est indéniable qu’il fait partie des produits de consommation. Mais il est beaucoup plus que cela : c’est aussi un support d’investissement attrayant. Les grands crus français, avec leur rayonnement international, y sont pour quelque chose. En effet, le marché du vin a été auparavant vu comme un marché que seuls les connaisseurs pouvaient espérer pénétrer. Mais aujourd’hui, il est moins flou. Il ressemble maintenant à n’importe quel marché classique, dans lequel tous ceux qui veulent investir peuvent prospérer. Les grandes ventes organisées par les maisons d’enchères ont beaucoup contribué à ce changement. Aussi, cette transformation du marché a été favorisée par la disponibilité des résultats d’études et des chiffres rendant plus faciles les calculs de rentabilité.

Investir dans le vin : quelles solutions choisir ?

Il faut opter pour les meilleures solutions si l’on veut que l’investissement dans le vin soit rentable. Dans le cas où vous êtes un bon connaisseur des grands crus, vous pouvez envisager d’acheter directement chez les cavistes. Cela dit, même pour cette option, il est conseillé de se faire accompagner par des experts. L’erreur fatale, c’est de se tromper dans le choix des grands crus dans lesquels on investit. Dans le cas où vous choisissez de construire votre propre cave, il y a trois règles d’or à respecter : toujours comparer les prix et les offres en consultant les cours du Liv-Ex ; privilégier les grands crus de Bordeaux et ne pas négliger la qualité de conservation.

Dans le cas où vous avez une connaissance du vin très limitée

Si vous n’êtes pas un connaisseur et que vous voulez quand même investir dans le vin, deux principales solutions sont conseillées. Premièrement, vous pouvez opter pour un fond commun de placement (FCP). De cette manière, tout ce que vous aurez à faire, c’est de prendre des parts dans le fonds. Vous serez propriétaire d’une partie de l’actif. Deuxièmement, vous pouvez tout simplement choisir de déléguer la gestion de votre cave. Ce sera ainsi une « cave patrimoniale ». Le seul grand défi sera de trouver un bon gestionnaire.

Bon nombre d’investisseurs choisissent de placer leur argent dans l’immobilier. Il s’agit d’un secteur plutôt attrayant si on pense aux bénéfices cumulés à long terme. Mais n’importe quel investissement est-il rentable ? Suivez cet article pour connaître les bons plans de placement immobilier.

Les critères à prendre en compte avant d’investir dans l’immobilier

Investir dans l’immobilier nécessite d’y placer un capital. Il faut considérer son budget pour savoir quel type de logement on peut s’offrir (un neuf ou ancien, appartement ou maison individuelle, …). Cependant, il existe notamment des possibilités de financement pour l’achat d’un immobilier. On peut citer à titre d’exemple, le crédit immobilier de la banque, le financement participatif (crowdfunding), … Mais il faut aussi savoir que détenir un immobilier nécessite une imposition au niveau de la fiscalité. Sa taxation dépend du chiffre d’affaires. De plus, l’immobilier est un bien amortissable. Sa valeur diminue avec le temps. Il nécessite également des réparations et des entretiens qui demandent plus d’investissement.

Les bons plans pour investir dans l’immobilier

Il existe différentes manières d’investir dans l’immobilier, mais elles ne sont pas forcément rentables. il faut le faire sur le long terme pour cumuler son bénéfice. Ainsi, l’investissement à but locatif est un plan intéressant. Le propriétaire perçoit chaque mois un loyer, en retour de son investissement, et pour alléger ses dépenses (réparation, taxe).
Placer l’argent dans le scpi (sociétés civiles de placement immobilier) est aussi une bonne idée. L’achat de l’immobilier est partagé entre plusieurs investisseurs physiques non-exploitants. Chaque investisseur reçoit un revenu selon sa part d’actions, et une réduction fiscale.
Enfin, la demande de locaux professionnels ne cesse d’augmenter. Ainsi, investir dans l’immobilier professionnel est également une bonne affaire. La rentabilité peur atteindre jusqu’à 10% l’année, alors que le marché n’est pas près de disparaître.

Autres astuces pour optimiser son investissement immobilier

Une manière plus radicale de rentabiliser son investissement immobilier est de repérer son achat dans les zones populaires, où la demande de location surpasse l’offre. On peut citer à titre d’exemple dans les sites touristiques, les sites de vacances, les zones frontalières, …
Depuis 2015, l’État a aussi met en place l’investissement immobilier imposé sur la loi Pinel. Ce système est destiné à l’achat d’immobilier à des fins locatives. Elle permet d’obtenir une défiscalisation à taux variable sur le long terme (12, 18, 21% pour 6, 9 et 12ans de mise en location). De plus, le propriétaire peut construire un patrimoine immobilier, en réinvestissant ses bénéfices.
Ainsi, investir dans l’immobilier est une idée bénéfique, à condition de savoir s’y prendre.

La rentabilité d’un placement en bourse n’est intéressante que lorsque celui-ci s’inscrit sur le long terne notamment en 5 ans minimum. La maîtrise du fonctionnement du marché financier est primordiale pour bien commencer dans le placement en bourse.

Avoir des connaissances de base solide

La connaissance sur le placement en bourse est indispensable dans la mesure où elle aide à comprendre les relations entre les clients et les établissements bancaires, les différents types de marchés boursiers, les différences et avantages des titres financiers (obligation, action, produits dérivés, etc.) ainsi que d’appréhender les règles d’or régissant ce secteur assez spécifique. Cette connaissance permet de comprendre les informations nécessaires sur le marché de la finance et sert d’indicateurs pour mesurer les performances, mais aussi les risques en termes de placement en bourse. En parlant de risque, il est important de déterminer le profil de risque avec lesquels vous voulez vous lancer dans le marché boursier.

Choisissez votre profil de risque

Le risque de fluctuation peut entraîner une perte sèche pour l’épargnant. De ce fait, il est important de bien déterminer le risque maximum dont vous êtes prêts à prendre pour pouvoir mieux miser les produits qui vous conviendront. Les actions sont plus risquées, car vos gains seront calculés en fonction des bénéfices générés par celles-ci. Mais cela peut aussi être une perte surtout que la fluctuation au niveau des prix des produits financiers n’est pas à négliger. Les prix des actifs financiers, comme dans tout autre marché, sont dictés par la loi de l’offre et de la demande. En effet, si les clients pensent que la société qui vend des titres pourrait bien se porter grâce à un vent économique favorable, dans ce cas, le prix des actifs augmente considérablement.

Les erreurs à éviter pour réussir son investissement en bourse

En matière d’investissement financier, nombreux sont ceux qui se laissent emporter par leur peur et tentent de tout vendre quand les titres commencent à perdre de valeur, car ils craignent la faillite. C’est pourtant dangereux, car vous risquez de vendre vos actifs à bas prix. Il faut savoir attendre que le contexte économique évolue dans le bon sens. D’où l’importance de la connaissance sur le placement en bourse. La réussite de votre placement en bourse dépend également de votre capacité de diversifier vos investissements. Effectivement, il est déconseillé de tout miser sur un seul secteur d’activité. Soyez méthodique ! Diversifiez vos placements par zone géographique par exemple. Mais surtout ne les disperser pas trop non plus, car vous aurez certainement du mal à suivre l’évolution de vos affaires et là, les risques d’accident sont nombreux.

Face aux nombreuses possibilités qu’offre le marché, il n’est pas si simple de choisir où placer son argent. La bourse est une alternative intéressante pour faire fructifier rapidement son épargne. Toutefois, avant d’y investir, il convient de maîtriser son fonctionnement et d’établir une stratégie gagnante. Découvrez à travers les lignes qui suivent l’essentiel à savoir sur le placement en bourse.

Comprendre les risques encourus

La bourse est un marché en perpétuelle fluctuation. Et, c’est notamment cette instabilité qu’il faut savoir profiter pour faire fructifier votre épargne. Les rendements peuvent être élevés si vos spéculations sont justes. Et inversement, les pertes aussi peuvent être importantes dans le cas où les marchés baissent. Les risques de perte d’argent y sont donc réels. De ce fait, n’investissez en bourse que l’épargne dont vous n’avez pas besoin pour vos projets de vie courante.

En bourse, vous avez le choix entre différents produits financiers : produits dérivés, obligations, actions, etc. Les risques que comporte chaque titre financier sont différents. Pour optimiser votre investissement, il est de ce fait, indispensable de vous informer sur la santé financière de l’émetteur et ses perspectives. Ces éléments vont en effet influer sur le prix de son produit financier.

Définir une bonne stratégie d’investissement

Avant d’effectuer un placement en bourse, définissez une bonne stratégie d’investissement. Pour ce faire, la première chose à effectuer est de définir un objectif de gain et aussi de se fixer un plancher de parte maximum. Lorsque l’un de ces deux éléments est atteint, vous arrêtez donc votre investissement. Établissez cette stratégie en tenant compte de votre profil d’investisseur. Si vous êtes débutant, ne visez pas trop haut. Commencez avec un objectif facilement atteignable.

Ensuite, vous devez constituer votre portefeuille. La règle est de ne pas mettre tout votre argent sur une seule valeur. Pensez donc à diversifier votre portefeuille. Ainsi, si une valeur baisse, cela impactera moins sur l’ensemble de votre investissement.

Enfin, il est important de surveiller régulièrement votre portefeuille. De fortes variations boursières peuvent en effet avoir lieu. Ce qui peut nécessiter une intervention rapide : arrêt des positions perdantes, etc.

Comment s’y lancer ?

La plupart des organismes financiers proposent différents types de solutions pour investir en Bourse. Vous pouvez donc vous rapprocher directement de votre banquier pour vous faire guider. Des brokers en ligne aussi offrent cette possibilité via les options binaires. Avec ces dernières, nul besoin d’être un as de la finance pour placer son épargne en bourse. L’investissement est très simple puisque cela consiste juste à spéculer sur la hausse ou la baisse d’une option à la fin du contrat choisi. Si cette spéculation s’est produite, alors vous gagnez de l’argent.

Le financement participatif représente un moyen pour lever de fonds de beaucoup de personnes, des particuliers ou des entreprises dans le but d’aider ou financer le lancement ou la conception d’un projet. Ce genre de financement est très différent du financement classique qui provient de la banque. Le financement participatif s’effectue en autonomie par l’intermédiaire des particuliers. La contribution ou non pour ce financement dépend de la décision de chacun. Ce système de financement ne passe pas par le processus bancaire. La traduction en anglais de ce terme est « crowdfunding » pour dire « financement par la foule ». C’est conseillé de bien maîtriser la gestion financière, quelle que soit l’origine du financement, pour la réussite du projet.

Le déroulement du financement participatif

Le financement participatif devient en ce moment une opportunité ascendante pour les entreprises grâce à l’évolution de la technologie de la communication telle que l’internet. C’est la plateforme de l’internet qui assure dans la plupart de cas toutes les campagnes de ce genre de financement. L’esprit du financement participatif est de faire appel aux investisseurs,  mais non pas aux habituels financements. La contrepartie pour le financement participatif est en général la compensation en nature. Les contributeurs restent de simples participants, mais pas des actionnaires.

Les différentes formes de financement participatif

Plusieurs types existent dans le financement participatif. Pour le cas de don, le soutien à un projet n’engage à rien aux donateurs et il n’y a pas de retour. Votre grande satisfaction d’entendre que le projet ait pu atteindre son objectif est le retour attendu par les personnes ou les entreprises qui font des dons. Dans le financement participatif, il y a la récompense. Cela consiste surtout dans les projets high-tech. Vous pouvez participer à un financement participatif et à la réussite du projet, vous recevez une récompense. Vous pouvez précommander en ligne un produit spécifique et vous le recevez dès que le projet est en phase de production.

Les différents avantages de ce système financier

Les avantages du financement participatif sont trop nombreux. Le premier avantage c’est que le porteur de projet ne dépend plus les circuits bancaires et le financement public qui sont en baisse. Ils sont donc libres de monter leurs projets et leurs activités. La rapidité de la levée de fonds et il n’y a pas beaucoup de risques. Un grand avantage est le fait qu’il n’y a pas de remboursement. Il n’y a pas non plus des obligations extérieures de résultat. La recherche ou la campagne de financement permet déjà à la communication du projet. C’est un système d’attirer l’attention du public pour le lancement du projet.

L’assurance vie est un placement très prisé actuellement. Elle peut être pertinente pour toute personne qui prépare sa retraite ou souhaite rémunérer un projet à moyen terme. Quels sont alors les détails à savoir sur les contrats d’assurance vie ? Qui sont les personnes concernées ? Et quels sont les différents types de contrat qui existent ?

Quel est le principe de l’assurance vie ?

L’assurance vie est un contrat pouvant être utilisé en tant qu’épargne à long ou à moyen terme. En principe, l’assureur s’engage à payer un capital ou une rente au bénéficiaire, en contrepartie d’un versement de primes par l’assuré. Par le biais du contrat d’assurance vie, les bénéficiaires mais aussi l’assuré peuvent éventuellement récupérer les sommes placées. À noter qu’il y a des gains ajoutés à cela et des frais de dossiers retirés  par l’assureur. Le versement peut se faire régulièrement et sans limite de montant, après avoir placé un capital à l’ouverture du contrat. Le plus intéressant fiscalement, c’ est l’épargne à 8 ans. Cependant, le contrat peut être clôturé avant cela.

Quelles sont les personnes concernées par le contrat d’assurance vie ?

Lorsqu’on parle de contrat d’assurance vie, il doit toujours y avoir des acteurs pour que le contrat soit accompli. Le souscripteur du contrat est celui qui verse les primes. Il s’agit généralement de l’assuré. C’est celui-ci qui désigne les bénéficiaires et il peut modifier les clauses du contrat mais aussi le clôturer. L’assuré est celui sur lequel repose le risque de survie ou de décès. L’assuré et l’adhérent du contrat est habituellement une seule et même personne. L’assureur est l’organisme auprès duquel le souscripteur a conclu le contrat. Il est dans l’obligation de verser une rente en cas de décès ou de rachat. Et enfin, le dernier personnage est le bénéficiaire. Il s’agit en effet, de la personne choisie par le souscripteur pour jouir de la rente ou du capital.

Quels sont les différents types de contrat  d’assurance vie ?

Il existe 2 types de contrat d’assurance vie. Il s’agit en effet de l’assurance vie en cas de mort ou assurance décès. En cas de disparition de l’assuré, l’assureur verse la rente au bénéficiaire. Le second concerne l’assurance vie en cas de vie ou assurance sur la vie. L’assureur verse le capital au bénéficiaire à l’échéance du contrat. Cependant, ces deux formes de contrat peuvent être combinées pour former l’ assurance vie mixte. Lorsque le décès de l’assuré survient avant le terme du contrat, le bénéficiaire peut recevoir la rente.

Le conseiller financier ou conseiller en investissement est un expert dans le domaine de la finance personnelle afin d’avoir un apport d’aide pour ses clients pour choisir le produit financier correspondant à leurs besoins. Généralement, il exerce dans les établissements financiers, les entreprises de patrimoine et les banques, mais peut également exercer en tant qu’indépendant sans être lié à une institution financière.

Qu’est-ce qu’un conseiller en investissement

Le rôle du conseiller en investissement dépend des besoins de sa clientèle, mais il intervient généralement dès l’analyse de la situation pécuniaire de son client afin de réaliser un bilan de la structure patrimoniale de ce dernier, pour déterminer les besoins spécifiques financiers et de ses objectifs sur le court et long terme pour pouvoir ensuite effectuer une recommandation sur le plan de retraite, les fonds d’investissement, les polices d’assurance.

Selon le besoin de son client, le conseiller est conduit à le diriger vers un avocat, gérant de portefeuille ou notaire pour pouvoir procéder à la vérification des documents de placement ainsi que les justificatifs de rentabilité des produits financiers contractés.

Lorsqu’un conseiller en investissement exerce dans les institutions financières ou les banques, il est toujours soumis aux autorités de surveillance locale tandis que les conseillers indépendants sont soumis à la supervision d’un organisme en charge de la réglementation de l’industrie des services financiers du pays où il exerce.

Les obligations d’un conseiller en investissement

Obligatoirement, le conseiller en investissement se doit de présenter et d’expliquer l’organisation de sa prestation de conseil à son client. À noter qu’en aucun cas, il ne peut conseiller sur l’investissement financier, mais peut délivrer des documents sur les modalités d’exécution, les informations de prestation-conseil réunies dans une lettre de mission.

Une fois que le conseiller en investissement délivre des conseils, il remettra à son client une déclaration d’adéquation dans laquelle il précise la manière dont ses conseils répondent aux besoins du client.

Faire appel à un conseiller en investissement

Avant de faire appel à un conseiller en investissement, il est important de se renseigner sur ce dernier :

– s’il est enregistré sur l’ORIAS où on pourra trouver son numéro d’immatriculation, mais également des informations sur son identité et son statut.

– Contacter l’AMF Epargne Info Service afin d’être sûr que le conseiller a les statuts légaux pour pouvoir conseiller.

A savoir que si un conseiller en investissement promet un grand rendement, cela est significatif d’une perte pour le client concerné.

Avant de pouvoir délivrer des conseils, le conseiller en investissement devra demander tout les documents concernant la situation financière et l’expérience en investissement de son client avec sa tolérance à subir une perte et au risque. Faire appel à un conseiller en investissement indépendant est bénéfique, car il n’est aucunement lié à un établissement financier, d’assurance ou une banque et pourra de ce fait donner des préconisations dans l’intérêt principal du client. Il bâtit alors une stratégie en fonction des demandes spécifiques du client.

Un établissement de crédit ayant reçu un agrément de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution la banque assure la gestion des moyens de paiement. Il existe plusieurs types de banque selon sa spécialité et sa clientèle comme une banque de dépôt, d’investissement et de financement ou encore une banque privée.

Les différents types de banques

D’une activité financière, la banque juridiquement est sous le code financier et monétaire. Le rôle principal de cet institut est de proposer des services financiers comme la collecte d’épargne, la réception des dépôts d’argent, l’accord des prêts, la gestion des moyens de paiement.

La banque de dépôt est le secteur le plus connu de la banque, elle reçoit principalement l’épargne de sa clientèle et leur accorde des prêts.

La banque d’investissement elle a une activité de financement et de conseil d’entreprise, en opérant également sur le marché financier.

La banque privée elle se spécialise dans la gestion des portefeuilles en proposant des services haute gamme pour la gestion d’un patrimoine à grande valeur.

Il est possible aujourd’hui pour les particuliers et les entreprises de choisir entre une banque physique ou banque sur le web.

La banque traditionnelle

La banque traditionnelle, banque classique ou encore banque physique est encore très fréquentée par les français. La banque physique propose à sa clientèle divers services comme la création d’un compte bancaire avec carte de crédit, le découvert, le chéquier, la proposition de crédit, l’épargne, mais également des offres d’assurance.

Se distinguant de la banque en ligne par sa méthode de fonctionnement, la banque physique est adressée aux particuliers et aux professionnels. Elle dispose d’agences bancaires où les clients se rendent pour aller à la rencontre d’un conseiller, faire le dépôt d’un chèque, d’espèce, mais également pour effectuer un virement.

La banque en ligne

Confondue avec la banque mobile, la banque en ligne a ses spécificités qui lui sont propres : elle permet à sa clientèle l’accès à leurs comptes, l’obtention d’informations financières les plus récentes et effectuer des transactions.

Accessible de jour comme de nuit sur internet, elle est également accessible dans les guichets automatiques bancaires. L’avantage de la banque en ligne est la compétitivité de ses tarifs et de la gratuité de ses services, car en effet, les frais bancaires y sont réduits et plusieurs moyens de paiement y sont gratuits. On peut également y créditer un chèque sur compte avec bordereau électronique tout en ayant un bon suivi en conseil par un chargé de clientèle personnel que l’on peut contacter sur la toile ou par téléphone.

La banque physique comme la banque en ligne ont chacune leurs spécificités propres. La banque physique, une banque où les particuliers place leur confiance par la présence d’un conseiller physique tandis que la banque en ligne elle est appréciée par la réduction des tarifs et de la gratuité de certains fonctionnements.

Des millions d’ordinateurs sont reliés entre eux pour former le réseau informatique qui constitue internet. Beaucoup d’informations sont stockées dans ces ordinateurs. Sur internet, les données bancaires sont protégées par des systèmes de cryptages et des mots de passe. Avant de faire des paiements sur internet, il faut ainsi prendre des précautions même si les banques en ligne renforcent sans cesse leurs sécurités pour protéger les données qui leur sont confiées.

En quoi consiste le fait de payer sur internet ?

La plupart des entreprises et des sociétés commerciales utilisent internet comme support commercial. Ainsi, à travers des boutiques en ligne, elles permettent à leurs visiteurs d’acheter des produits ou des services. Acheter un produit ou un service et payer sur Internet font partie des quotidiens de la plupart des consommateurs actuels. Ces boutiques en ligne utilisent généralement des passerelles qui mènent leurs consommateurs vers des plateformes de paiements ou des banques en ligne comme PayPal. De ce fait, il y a des précautions à prendre lors d’un paiement en ligne, car il faut se méfier des hackers qui n’ont aucun scrupule à voler et utiliser des données bancaires.

Quelles sont les précautions à prendre lors d’un paiement sur internet ?

Au moment de payer ce qu’il y a dans leurs paniers, les consommateurs d’une boutique en ligne sont dirigés vers une plateforme de paiement en ligne, ce qui garantit déjà la sécurité de leurs paiements. En plus de cela, les précautions à prendre lors d’un paiement en ligne sont : vérifier la page du paiement en ligne, se méfier des pages inconnues ou des plateformes de paiements inconnus et éviter d’enregistrer les coordonnées bancaires sur un navigateur web. En cas de problème, il est préférable de contacter en premier la plateforme ou la banque en ligne, car celui qui paye n’est pas le seul concerné dans une opération de paiement en ligne.

Qui sont les acteurs des sécurités des paiements en ligne ?

Internet est un domaine où circulent continuellement des données sensibles qui doivent être protégées. La protection de ces données incombe aux plateformes de paiements en ligne. Ces plateformes sont les banques en ligne qui offrent des services comme les banques réelles. Elles doivent consacrer et investir des moyens et des ressources considérables pour protéger les données sensibles de leurs clients. Pour connaître et stopper plus efficacement les attaques des hackers, les banques en ligne ont besoin des coopérations de leurs clients.

Actuellement, le système de paiement progresse avec la globalisation et l’évolution de la technologie. Les paiements suivent aussi le rythme des commerces de biens et services, internes et internationaux. Nombreuses sont les moyens de paiement permettant d’effectuer des échanges en toute sécurité.

Les moyens de paiement fiduciaires

Les différents moyens de paiement sont conçus en vue de favoriser les échanges. Les moyens de règlement liquides concernent les espèces. Il s’agit des pièces et des billets de banque. La monnaie fiduciaire constitue des moyens classiques de paiement  utilisés depuis longtemps. Actuellement, la détention de monnaie liquide à des montants élevés n’est plus encouragée et cela pour des raisons de sécurité. En effet, les paiements à travers les pièces et les billets de banque ne se pratiquent que pour les échanges à des montants relativement faibles.

Les moyens de paiement scripturaux

Les moyens de paiement intermédiaires concernent les paiements scripturaux. Il existe divers types de règlement via papiers. Il s’agit des chèques, des virements et des prélèvements, des effets de commerce et des titres. Les chèques sont très courants pour les fournisseurs. Toutefois, ils ne sont pas très utilisés étant donné le risque en termes des chèques sans provisions. Concernant le virement, nombreux sont les types de virements comme le virement permanent, ponctuel, international. Pour le prélèvement, il est effectué pour le règlement des créanciers. A propos des effets de commerce, ils comprennent la lettre de change et le billet à ordre. Ils font partie des moyens de paiement fiables. Ils sont surtout très pratiques pour les petites et moyennes entreprises.  Quant aux titres divers, ils sont destinés aux règlements à distance.

Les moyens de paiement virtuels et électroniques

La progression des moyens de paiement a abouti à la conception des paiements virtuels et électroniques. Ils sont adaptés aux échanges en ligne. Le paiement par monnaie électronique est adéquat pour les faibles montants étant donné l’existence de la limitation des paiements. Par ailleurs, le paiement virtuel et électronique nécessite l’utilisation des cartes bancaires. Ce système permet le paiement à distance en toute sécurité pour favoriser la transaction des agents économiques.

Les moyens de paiement évoluent avec la production et les échanges des biens et services. Le paiement en espèce reste toujours pratique pour des opérations à des montants faibles. La monnaie scripturale progresse également et s’avère intéressante pour le paiement à distance. L’évolution du commerce en ligne a également contribué à l’émergence du règlement électronique et virtuel. Ces moyens de paiement sont conçus pour favoriser le développement et la rapidité des échanges sécurisés.

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